Une envie de farniente

Je suis prof mais je me soigne, Nos amies les bêtes, Si la Nouvelle Aquitaine m'était contée

Les camarades qui me suivent sur twitter le savent : j’étais jusqu’à aujourd’hui engluée dans une centaine de copies de bac blanc, la plus longue faisant quand même 18 pages ! De là une envie immodérée, dès que le temps (dans tous les sens du terme) le permettait, de jaillir de la maison façon diable hors de sa boite pour aller, ne serait-ce qu’un bref instant, compter les plumes des moineaux ou valider que le faucon crécerelle n’avait pas déserté son territoire habituel malgré la présence insistante et malodorante de pétarous chevauchés par des gugusses partageant un seul cerveau à six.
Mais aujourd’hui mesdames et messieurs, à 17 heures pétantes, je mis le point final et un 15/20 à la dernière copie, avec une seule envie : mettre le nez dehors.
Je rêverais presque, moi qui pourtant déteste rester des heures allongée sous le cagnard, je rêverais presque, disais-je, de profiter enfin du soleil, un peu comme les tortues de Floride qui se sont si bien adaptées au climat girondin :

printemps P1010046.jpg

Et en plus, maintenant que les copies sont finies, j’ai le droit. Na !

Photo : agglomération bordelaise, mars 2016

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