Même le guetteur doit partir

Si la Nouvelle Aquitaine m'était contée, Un peu d'art dans un monde de brutes

Les clones métalliques d’Antony Gormley, statues  d’hommes nus placées de-ci de-là dans Bordeaux, constituaient une animation estivale. Elles étaient visibles à divers endroits de la ville, aussi bien sur le toit du Grand Théâtre que dans la rue Sainte-Catherine ou sur la place du Marché des Chartrons. Mais l’été est fini : l’heure d’hiver démarre demain et cela fait déjà bien deux semaines que nous trouvons des chanterelles dans les bois, ce sont des signes qui ne trompent pas. Et donc, les festivités d’été doivent laisser la place, et les statues de Gormley doivent partir. Toutes. Même celle qui veille sur la Garonne, bien plantée sur le pont Chaban-Delmas :

Photos réalisées à Bordeaux mi-octobre 2017

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